tag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post4889069304707361649..comments2023-08-19T15:10:00.740+02:00Comments on chauché-écrit: Choses Lues et Vuesphilippe chauchéhttp://www.blogger.com/profile/02107446213107830415noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-21472262040062066142012-03-26T18:24:47.108+02:002012-03-26T18:24:47.108+02:00L horreur est réfuter le partage, sa richesse. Étr...L horreur est réfuter le partage, sa richesse. Étriqué. Besogneux et étriqué.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-12953723036854650092012-03-26T18:02:09.706+02:002012-03-26T18:02:09.706+02:00Rigoureux et rieur, vigoureux et amusé, et toujou...Rigoureux et rieur, vigoureux et amusé, et toujours très attentif à vos remarques, peu besogneux, guère cérébral, sensible au vent, au sourire croisé dans le soleil de mars, à la touche et à la matière.<br /><br />Bien à vous.<br /><br />Philippe Chauchéphilippe chauchéhttps://www.blogger.com/profile/02107446213107830415noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-17216423805561394812012-03-26T17:25:45.557+02:002012-03-26T17:25:45.557+02:00Dans tous les cas, cher hôte, le bonheur est si su...Dans tous les cas, cher hôte, le bonheur est si subjectif que par définition il dépendra d'une personne. D'une SEULE personne. Qu'ils soit indissociable de la solitude est largement plus discutable à moins d'entretenir avec soi même des relations tellement privilégiées qu'on n'aime nul autre autant voire plus que soi. C'est uen question d'ego. <br />D'ailleurs l'un des éléments de la "résistance" nittzschéennne est à mon sens la cohabitation avec soi. L'autre, miroir, permet parfois de la rendre acceptable. et si c'est l'Autre, ça arrive un peu plus souvent. <br />Il vous incombe de penser que le partage est étranger au bonheur, à la joie. A mon sens, les deux versions peuvent exister et je m'en vois, de ce fait, plus riche que vous. <br />Le partage est une zone de fusion dans la juxtaposition de sentiments, dans le voisinage des personnes qui les vivent. Cette zone peut être minuscule et diaphane, vaste et presque inconsistante, mais elle peut être aussi très fine, très étroite et pourtant d'une extraordinaire densité. <br />Si vous n'avez pas vécu cela, c'est dommage pour vous. Moi, j'y cours après. <br />Ne serait ce que le rire. N'est il pas partage? N'est-il pas joie? Dissout il les personnes pour autant? <br />Alons ! Dans les lignes ci-dessus, vous êtes un ronchon qui élève la gravité au niveau d'une quasi vertu !<br />Déloyalement, j'utiliserai pour preuve votre première phrase : L'artiste du bonheur est un solitaire vigoureux et rigoureux. Tigoureux ! Tu parles d'un bonheur ? Un besogneux. Voilà ce que vous décrivez ! Un besogneux de la "cérébralité" ! <br />Pour moi, pas plus l'art que le bonheur ne sont régis par la rigueur. Si elle s'y invite, elle n'est qu'instrument, serviteur mais en aucun cas élément fondamental ! <br />Rigoureux ! ... Je rêve !Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-86758836018023419002012-03-26T16:11:57.212+02:002012-03-26T16:11:57.212+02:00L'artiste du bonheur est un solitaire vigoureu...L'artiste du bonheur est un solitaire vigoureux et rigoureux. <br />"Artialiser" le bonheur, est en quelque sorte le mettre en lumière - Matisse - et (ou) en musique - Ellington - et (ou) en littérature - Ponge -, ce qui comme vous le soulignez constitue une "négociation" permanente avec les faces sombres et cachées de ces mises en lumière-musique-littérature, il s'agit de ne pas les "détourner" mais les "retourner", pour non pas s'installer "misérablement" dans un imaginaire du bonheur, mais dans le bonheur réel qui ne s'éloigne jamais d'un desespoir tendu et actif. <br />Vivre est un acte de résistance - voir la situation de Nietzsche écrivant Ecce Homo - à la vie, de la même façon que la "joie" est un retournement du bonheur, on s'y emploie dans une active solitude lunaire et solaire, non dans le partage - stupide invention de la moraline dominante - mais dans la fracture.<br />Aimer revient à fracturer l'amour, comme Rodin fracture le marbre, Monk la mélodie, ou Mallarmé la poésie.<br /><br />Bien à vous<br /><br />Philippe Chauchéphilippe chauchéhttps://www.blogger.com/profile/02107446213107830415noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-53850640787801481302012-03-26T14:07:20.620+02:002012-03-26T14:07:20.620+02:00L'art d'être heureux.... Quelle est l'...L'art d'être heureux.... Quelle est l'occurrence la plus importante? L'art ou le bonheur? Je crois qu'artialiser le bonheur est l'élever à la puissance. L'artialisation étant elle même un heureux exercice. D'abord parce que s'il est art, il est invention, création, liberté, ensuite parce que la négociation qui y préside peut être jouissive, délectable. Cela nous conduit à ce qu'est le bonheur. La quiétude? Frichtre non ! Quel ennui ! se contenter de ce qu'on a? Diable, et se soumettre? Irrecevable. Un instant immmense d'émotion? Et l'avant? Et l'après? <br />Et si le bonheur était tout simplement vivre? Succession de petits ennuis dépassés, grandissement suite à des événements plus graves, articulation de joies parfois si intimes qu'elles sont invisibles pour les non initiés, d'autres plus manifestes, mais qui toutes ont un sens, une direction convergeant ves les valeurs de l'artiste du bonheur?Anonymousnoreply@blogger.com