tag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post7912554797586526428..comments2023-08-19T15:10:00.740+02:00Comments on chauché-écrit: Cante Jondophilippe chauchéhttp://www.blogger.com/profile/02107446213107830415noreply@blogger.comBlogger7125tag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-49010994586083542552012-06-25T10:20:46.015+02:002012-06-25T10:20:46.015+02:00N oublions pas sue la graphie initiale de l événem...N oublions pas sue la graphie initiale de l événement était "faites de la musique". <br />Démagogue ? Certainement. Restait à les prendre au mot et après la musique faire le reste.Zim boum boumnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-4455885326014209662012-06-24T20:29:18.110+02:002012-06-24T20:29:18.110+02:00Cher Philippe Chauché,
Vous êtes le meilleur des ...Cher Philippe Chauché,<br /><br />Vous êtes le meilleur des hôtes, et vous tenez votre salon d'une main de maître. <br /><br />Je tenais à vous le dire.<br />C'est un peu à contretemps, mais <br />c'est dit.<br /><br />Bien à vous.<br /><br />VaudeyÉditions sensualisteshttps://www.blogger.com/profile/16849738121273503401noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-34083983430636296842012-06-24T20:07:08.660+02:002012-06-24T20:07:08.660+02:00" Un homme d'esprit me disait un jour : q..." Un homme d'esprit me disait un jour : que le gouvernement de France était une monarchie absolue tempérée par les chansons. "<br />Chamfortphilippe chauchéhttps://www.blogger.com/profile/02107446213107830415noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-53779945387512295972012-06-24T16:37:43.416+02:002012-06-24T16:37:43.416+02:00Un homme qui s’obstine à ne laisser ployer ni sa r...Un homme qui s’obstine à ne laisser ployer ni sa raison, ni sa probité, ou du moins sa délicatesse, sous le poids d’aucune des conventions absurdes ou malhonnêtes de la Société, qui ne fléchit jamais dans les occasions où il a intérêt de fléchir, finit infailliblement par rester sans appui, n’ayant d’autre ami qu’un être abstrait qu’on appelle la vertu, qui vous laisse mourir de faim.<br /><br />Chamfort.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-34677231589330880882012-06-24T16:17:35.009+02:002012-06-24T16:17:35.009+02:00les eaux glacées du calcul égoïsteles eaux glacées du calcul égoïsteAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-76212225223542692502012-06-24T13:57:12.041+02:002012-06-24T13:57:12.041+02:00De sorte qu’on se trouve naturellement assistés, p...De sorte qu’on se trouve naturellement assistés, pour assujettir ces seconds, par les premiers.<br /><br />Qui regarde l’histoire des deux siècles passés y verra l’application démocratisée, c’est-à-dire appliquée à tous, et finalement par tous, de ce que je viens d’énoncer.Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-415117559483237188.post-66609712187427172022012-06-24T13:53:19.832+02:002012-06-24T13:53:19.832+02:00Il faut des fêtes bruyantes aux populations : les ...Il faut des fêtes bruyantes aux populations : les sots aiment le bruit, et la multitude c'est les sots ; et puis le peuple est le même partout : quand on dore ses fers, il ne hait pas la servitude. <br /><br />La bonne politique est donc de faire croire aux peuples qu’ils sont libres, et surtout libres de s’abandonner à leurs vices, puisque l’on gouverne mieux les hommes par leurs vices que par leurs vertus.<br /><br />Plutôt que d’offrir toujours ses vices au peuple, il faut, surtout, les lui vendre, à tempérament : c’est là le moyen de s’enrichir immodérément à ses dépens et de l’assujettir à — et par — ses addictions. <br /><br />On trouve là, d’un même mouvement, le meilleur moyen d’en faire le farouche défenseur de cette nouvelle et supérieure forme de l’assujettissement <i>par la liberté</i> — mais une <i>liberté</i> ravagée, comme le reste, par l’injouissance poétique et sentimentale — que l’on gagne, également, à mettre en spectacle. <br /><br />L’art supérieur restant de faire découvrir aux peuples — tirés de leur propre fonds — toujours de nouveaux vices ; ce que l’on réalise en désagrégeant toutes les anciennes formes de coercition des instances familiales, morales, sociales et religieuses — pour les faire glisser dans les eaux glacés du calcul égoïste — en favorisant, plutôt que de les combattre, parmi ces multitudes, les pervers au détriment des simples névrosés : le <i>seul plaisir</i> des premiers étant, on le sait, de débaucher les seconds. <br /><br />De sorte qu’on se trouve naturellement assistés, pour assujettir ces seconds, par les <br />Qui regarde l’histoire des deux siècles passés y verra l’application <i>démocratisée</i>, c’est-à-dire appliquée à tous, et finalement <i>par tous</i>, de ce que je viens d’énoncer.Anonymousnoreply@blogger.com