Cela pourrait s'appeler la Défense du Style, seule guerre que l'on ne doit en aucun cas perdre, question de vie ou de mort. Lorsque la mort domine, le style sauve.
"Le style est l'homme même" répète-t-on sans y voir de malice, ni s'inquiéter de ce que l'homme ne soit plus référence si certaine... Alors, Lacan, en paraphrasant Buffon et en rallongeant la formule écrit : "Le style c'est l'homme... l'homme à qui l'on s'adresse." À vous Philippe Chauché, Ornella
L'évidence éclate plus haut, dans cette faena de José Tomas à Valencia, comme elle éclate aussi dans la mise en scène de " Je suis le vent " de Patrice Chereau vue il y a quelques temps à Avignon, le style de l'homme qui parle à l'homme, cela me fait penser, Ornella, aux entretiens qu'accorda un temps Mauriac à la télévision. Autres temps autres styles !
"Le style est l'homme même" répète-t-on sans y voir de malice, ni s'inquiéter de ce que l'homme ne soit plus référence si certaine... Alors, Lacan, en paraphrasant Buffon et en rallongeant la formule écrit : "Le style c'est l'homme... l'homme à qui l'on s'adresse."
RépondreSupprimerÀ vous Philippe Chauché,
Ornella
L'évidence éclate plus haut, dans cette faena de José Tomas à Valencia, comme elle éclate aussi dans la mise en scène de " Je suis le vent " de Patrice Chereau vue il y a quelques temps à Avignon, le style de l'homme qui parle à l'homme, cela me fait penser, Ornella, aux entretiens qu'accorda un temps Mauriac à la télévision. Autres temps autres styles !
RépondreSupprimerBien à vous.
Philippe Chauché