" Musique : haleine des statues. Peut-être : silence des tableaux. / Toi, langue où les langues s'achèvent. / Toi temps érigé à la verticale des coeurs évanescents. " (1)
Ne vous fiez pas aux apparences, car la mort les ignore.
à suivre
Philippe Chauché
(1) Chant éloigné / Rainer Maria Rilke / traduc. Jean-Yves Masson / Verdier
Evidemment ce post me touche de près.
RépondreSupprimerVous avez peut-être lu les quelques "lignes hommage" que j'ai écris sur mon blog.
Vous comprendrez.
Oui, un temps à la verticale.
Belle année à vous
Maia