Voilà un peintre étrange, étranger dirons-nous, ses tableaux sont reproduits ici et là, posters, cartes postales, on les voit partout, ils sont à la mode, mais les voit-on vraiment ? où voulons-nous vraiment les voir dans ce qu'ils ont de troublant ?
Alors, d'où vient le trouble qu'ils dégagent ? De la netteté des histoires que le peintre met en scène, et du trouble qui se dégage de ses tableaux, un peu comme dans certains films de série B, films noirs, qui en disent beaucoup sur le doute qui ne cesse et ne cessera de traverser les hommes, sur leur profonde solitude, et l'élégance de leur désespoir et ce désespoir, cette suspension du temps, saisis comme rarement, est un miroir trouble où l'on finit par se noyer un verre à la main, une cigarette aux lèvres, mais en souriant.
Alors, d'où vient le trouble qu'ils dégagent ? De la netteté des histoires que le peintre met en scène, et du trouble qui se dégage de ses tableaux, un peu comme dans certains films de série B, films noirs, qui en disent beaucoup sur le doute qui ne cesse et ne cessera de traverser les hommes, sur leur profonde solitude, et l'élégance de leur désespoir et ce désespoir, cette suspension du temps, saisis comme rarement, est un miroir trouble où l'on finit par se noyer un verre à la main, une cigarette aux lèvres, mais en souriant.
à suivre
Philippe Chauché
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