" Quelle folie de regretter et de déplorer d'avoir négligé de goûter dans le passé tel bonheur ou telle jouissance ! Qu'en aurait-on maintenant de plus ? La momie desséchée d'un souvenir. "
à suivre
Philippe Chauché
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Bé tiens pardi! Et comme ça on ne fait rien, on ne s engage pas! Tu parles, toi, d' ine momie? Elles ne sont pas toutes où l on croit.
RépondreSupprimerEt puis un souvenir, c est maGIfique. Ça se soigne, s embellit, ça nourrit bien plus que l etriquement de celui qui guette et juge. Un souvenir, il vit. Et l autre qui raconte que c est une momie! Pfffff ! Et puis de toutes façons, les momies comme les souvenir ont beaucoup à nous enseignet et enfin, certains les adorent.
Chère visiteuse, l'engagement est par essence une défaite, le savoir et s'en amuser conduit à se satisfaire de tout, mais pas de tout le monde, le souvenir contrairement au vin de Bordeaux ne se bonifie pas, il EST, ne lui en demandons pas plus, et comme moi, il prend quelques rides, et finit, par se dessécher sur place, ce n'ont pas, si je puis dire, les souvenirs qui nous "enseignent" mais l'Histoire, vivre c'est rendre l'instant moins pénible qu'il a toutes les chances de devenir.
RépondreSupprimerC'est bien amicalemet que vous salue.
Philippe Chauché
" Le souvenir du bonheur n’est plus du bonheur ; le souvenir de la douleur est de la douleur encore" répétait à qui voulait l'entendre, Lord Byron.
RépondreSupprimerMa foi je reprendrai bien un peu de Carpe Diem. Ce simple gouleyant primeur, n'est sans doute pas un vin de garde, mais parfois il peut réserver de bonne surprise.
Je vous souhaite une bien belle journée
" Quam minimum credula postero " et l'instant pétille.
RépondreSupprimerBelle journée Maïa.
Philippe Chauché
Aïe! Votre vin de Bordeaux pique un peu monsieur Philippe! Pour ma part, tant pis si je suis un peu benête mais outre le fait de ne pas etre dûre du féminin de benêt, je cultive un optimisme primesautier et dynamique. Sans doute résultat d' une histoire où si les forces de vie n avaient pris le dessus je serais morte. C est ainsi. J ai des réflexes qui me poussent à m engager pour faire avancer et pas pour la victoire. Je ne suis pas une compétitrice. Et si les gens pensent autrement, c est qu ils y retrouvent leu compte. Maïa a raison : carpe diem et si la mélancolie edt le moteur de certains, moi, j ai donné et me tourne resoluement vers la vie sans etre dupe que l engagement est une béquille. D' ailleurs j ai toujours remercié mon entourage à ce sujet.
RépondreSupprimerLe tout, vous le noterez, ecrit dans la langue initiatique du crimoufle jusqu'à mon identité
RépondreSupprimer