Il note, sous les rayons d'un soleil d'hiver qui jouent des lames claires du parquet de son salon, que la dérive des continents de l'écriture ne peut rien contre ce qui un temps s'est écrit, contre cette dérive prévisible, contre ce qui s'écrit aussi maintenant, de manière radicale, à entendre comme l'on entend la radicalité de Dante, de Montaigne, de Gracian, de Nietzsche, mais aussi de Céline, Claudel, Mauriac, Sollers ou Fitzgerald. Cette radicalité, n'a rien à voir avec quelque mouvement révolutionnaire sauf à l'entendre comme un mouvement circulaire du temps, une roue où se glissent des phrases, un corps vivant qui joue des mots et s'en joue.
à lire et à suivre
Phillippe Chauché
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