source : www.yozone.fr
Il se souvient de Marie Rivière. De l'écrivain cinéaste qui écoutait. Il se souvient de cet art délicat du mot qui fait apparaître la lumière.
Il se souvient de l'art d'écouter un visage.
à suivre
Philippe Chauché
lundi 11 janvier 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Oui c'est triste la poésie de Rohmer va manquer...C'est l'hécatombe ce mois de janvier. Je regrette aussi le départ de Lhasa à la voix si sensuelle et l'écorché Mano Solo...bonne journée quand même...
RépondreSupprimer