Jean-Marie Magnan, Lucien Clergue et El Cordobès |
Ecrire le Roman de la Corrida, comme celui de Jean Genet, de Picasso, de Cocteau, croiser Paco Ojeda et Michel Tournier, se glisser dans des arènes, comme l'on se faufile dans un roman, c'est tout l'art de Jean-Marie Magnan. Il a tant de vu de toreros et de toros, qu'il pourrait entrer à l'Académie du Ruedo si elle existait. Il tant entendu, tant écouté, tant admiré, tant craint lorsqu'une corne s'aventure au plus près du fil de la vie, qu'il en a fait un Roman, une aventure céleste : " Avec Atrevido (audacieux), mythique taureau blanc d'Osborne, l'incarnation fut complète et sa ville se rendit à lui. Madrid avait perçu le raffinement de sa manière, son charme mélancolique et vulnérable, sujet à éclipses. Reste que, cette fois encore, son départ silencieux resta inaperçu. " (Antonio Chenel Albaladejo Antoñete)
Philippe Chauché
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