Antonio Chenel Alabaladejo dit « Antoñete » a muerto.
Le silence accompagne parfois la mort des héros.
" Le Je Ne Sais Quoi, qui est l'âme de toutes les bonnes qualités, qui orne les actions, qui embellit les paroles, qui répand un charme inévitable sur tout ce qui vient de lui est au dessus de nos pensées et de nos expressions ; personne ne l'a encore compris, et apparemment personne ne le comprendra jamais. "
Baltasar Graciàn y Moralès
à suivre
Philippe Chauché
J'étais aujourd'hui à Las Ventas. C'était émouvant et m'a ramené ma propre peine.
RépondreSupprimerDans la famille taurine nous partageons les triomphes, les copas de fino les jours de courses, les confidences de la peur, les doutes et les peines aussi. Toreros, ganaderos, empresa, apoderado, ils étaient là aux jours de ma peine.
Aujourd'hui nous accompagnions Antoñete pour une dernière puerta grande.
Mas alla, seguro que te esperan Manolete, Belmonte, Ordoñez, Paquiri, el Yiyo, Nimeño...
Accompagner les disparus est comme un éclair de vie.
RépondreSupprimerJe pense à vous.
Philippe Chauché
Mais peut être que ce sont les morts qui nous accompagnent au fond et qui nous donnent toute la force nécessaire pour supporter leurs absences et bien plus encore !
RépondreSupprimerMaia j'aimerai être à vos côtés pour vous soutenir du mieux que je le peux, mais en attendant je suis près de vous par la pensée !
Je vous embrasse fort !
Philippe vous avez raison, puisons en nous toute l'énergie possible pour nous maintenir debout, en vie, tout en honorant ceux qui sont allés vers d'autres mondes. Comme avec les grands esprits des rencontres auront forcément lieu !
Bien à vous.