De nouveau dans le mouvement du temps : rien n'est simple, mais doit le paraître, rien n'est évident, et pourtant ! Pourtant, pour s'y inscrire, pour l'embrasser, "j'embrasse le mouvement du temps, et je deviens ce mouvement", il faut être à la fois visible et invisible, vivre dans la vitesse et l'immobilité.
Aimer le Temps, c'est gifler la mort rodant, et ne jamais douter des déesses que l'on croise, c'est ainsi que l'on se transforme en frégate blanche, un oeil sur la côte fleurie d'oiseaux curieux, l'autre sur le large, Océan, oh, vieil Océan, on se coule dans tes pages chaque jour renouvellées.
" Les esclaves du Temps sont les esclaves d'un esclave." Judah Halévy - Poésie hébraïque - du IV ° siècle au XVIII° siècle - Gallimard - L'infini.
Que mille fleurs apaisent tes doutes.
à suivre
Philippe Chauché
mercredi 20 février 2008
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